Gama08 @ 11.03.2008 à 18:55 a écrit: Ben moi, j'suis tombé sur un drôle de truc en rengeant mes vinyles, j'me souvenais même plus que j'avais ça... Ca s'appelle Machin (?), c'est bien trippant, c'est du genre folk humoristique tendance biniou, bière et pinces à linge...![]()
funny man @ 11.03.2008 à 18:36 a écrit:VoorheesX @ 11.03.2008 à 17:41 a écrit: Alors bah en cemoment j'écoute du michael jackson.Et comment pourrait-il en être autrement avec la sortie de l'album thriller pour son 25 eme anniversaire.Je suis tombé sur son clip avec les zombies (digne d'un film d'horreur) que dire si ce n'est que c'est fantastique.Dire que quand j'étais petit ce clip me filait les jetons.![]()
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ben john landis c'est pas une merde il me semble que c'est lui le fameux clip thriller !!
Pour moi en ce moment je valse entre Calvin russell et ten years after ! C'est que du bon![]()
mutation @ 11.03.2008 à 23:20 a écrit:Gama08 @ 11.03.2008 à 18:55 a écrit: Ben moi, j'suis tombé sur un drôle de truc en rengeant mes vinyles, j'me souvenais même plus que j'avais ça... Ca s'appelle Machin (?), c'est bien trippant, c'est du genre folk humoristique tendance biniou, bière et pinces à linge...![]()
je crois que c'est le groupe des zicos qui accompagnaient Hubert Felix Thiéfaine (la fille du coupeur de joint) au début de sa carrière. J'ai un pote qui a cherché des années après un de leurs vynils![]()
Trackilist :
CD 1 Planet Y
01 Age of Shadows
02 Comatose
03 Liquid Eternity
04 Connect the Dots
05 Beneath the Waves
06 Newborn Race
07 Ride the Comet
08 Web of Lies
CD 2 Earth
01 The Fifth Extinction
02 Waking Dreams
03 The Truth Is in Here
04 Unnatural Selection
05 River of Time
06 E=MC²
07 The Sixth Extinction
Un nouvel album d'Ayreon reste un événement majeur à bien des égards pour tout amateur de rock et de grosse production bien huilée. Après avoir sorti The Final Experiment en 1995 et Actual Fantasy en 1996, le Hollandais volant a définitivement mis pied à terre avec l'incontournable Into the Electric Castle, un double album qui su revigorer le concept d'opéra rock par un habile mélange quasi-parfait de rock progressif, de musique folklorique et de heavy metal. Depuis, Arjen Lucassen ne cesse de jouir d'une popularité exponentielle et de publier des albums dont le travail d'orfèvre n'est plus à discuter. Afin de célébrer dignement les dix ans de ce premier succès, notre célèbre migrateur a souhaité poursuivre sa quête de vérité.
Vraie-fausse suite de son aîné décennal, ce nouvel album offre d'emblée un titre évocateur : pourquoi ? Une simple question qui trouve pourtant son sens tant cette nouvelle uvre suscite bien des interrogations. Les premières impressions laissent place à une incertitude dont le contraste reste à étayer. Pourquoi avoir décidé de sortir un nouvel album dont le message d'accroche résumait un retour aux racines et de ce fait, une probable démarche de régression artistique ? Pourquoi retrouve-t-on une énième flopée d'invités, dont le but inavoué serait une opération marketing rondement ficelée, et dans laquelle chacun y trouverait un intérêt pécuniaire ? Et pourquoi pouvons-nous être assaillis par un terrible doute à l'écoute de notre homme-orchestre dont l'inspiration semble se tarir ?
Il apparaît clairement qu'après le coup de maître réalisé en 2004 avec The Human Equation, le maestro devait prouver quil possédait bien plus d'un tour dans son sac. Les histoires et les nombreux clins d'il sonores, rythmiques et mélodiques, disséminés au gré de ses albums depuis dix ans, sont autant d'éléments qui appartiennent en réalité à une vaste fresque conceptuelle, tant dans la musique que dans le scénario. Arjen Lucassen est un conteur d'histoire, doublé d'un philosophe contemporain porté sur l'évaluation des incidences technologiques, sous couvert d'une identité d'auteur-compositeur-interprète. La cohésion avec le reste de la discographie prouve très clairement avec quel talent notre homme sait jongler avec son imagination, en nous proposant ici un nouveau fragment de son architecture mythologique.
Ecriture soignée, contexte superbement illustré et production sonore exemplaire : on ne peut que saluer à nouveau le travail mis en uvre pour placer l'auditeur en apnée. Chaque titre possède son atout qui réussira sans effort à laisser une trace indélébile dans l'esprit de chacun. Les prouesses des nombreux invités, aussi bien chanteurs qu'instrumentistes, désamorcent l'avis de départ. En voulant boucler la boucle, Ayreon a choisi la vitesse de croisière pour préserver la logique de sa structure narrative.
En définitive, Ayreon représente bel et bien une expérience qui ne peut être savourée dignement quen pénétrant l'univers à l'aide du livret et du disque. Complémentaires, ces clés permettent douvrir les nombreuses portes et de découvrir les ingénieuses subtilités du champ lexical de l'artiste. Cet album vous permettra d'assembler les pièces du puzzle avec un plaisir non feint. L'aventure est une nouvelle fois au rendez-vous !
Scars @ 14.03.2008 à 00:22 a écrit: Suicidal winds Definitely war demo
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