Sucker Punch

-> Les films d'horreur, fantastique, SF...

Messagepar Oh My Gore » 26 Novembre 2010, 00:13

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Scénariste(s) : Zack Snyder (screenplay), Steve Shibuya (screenplay),
Genre(s) : Action | Fantasy | Thriller
Pays : USA

Avec Emily Browning, Vanessa Hudgens, Abbie Cornish, Jamie Chung, Jena Malone, Carla Gugino, Jon Hamm, Oscar Isaac et Scott Glenn.

L'histoire est située dans les années 50 où une jeune fille se voit interné par son beau-père dans un asile psychiatrique. Dans cinq jours, elle doit subir une lobotomie. Pour échapper à cette réalité, elle et ses compagnes de cellules se projettent dans une réalité alternative dans laquelle elles organisent une tentative d'évasion.

Voici une vidéo promotionnelle pour "SUCKER PUNCH", réalisé par Zack Snyder ("300") !

Emily Browning, Vanessa Hudgens, Abbie Cornish, Jamie Chung, Jena Malone, Carla Gugino, Jon Hamm, Oscar Isaac et Scott Glenn. seront les vedettes principales de ce film dont la sortie américaine est fixée au 25 mars 2011.

http://www.ohmygore.com/une-video-promo ... -7688.html
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Messagepar Lan » 29 Mars 2011, 12:43

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Ecrit par Zack Snyder, Steve Shibuya
Avec Emily Browning, Vanessa Hudgens, Abbie Cornish, Jena Malone, Jamie Chung

Année : 2011
Pays : USA
Durée : 109 min

.: L'HISTOIRE
Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée, et la loyale Amber – à s'unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s'emparer de Babydoll.

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.: LA CRITIQUE
Juste après les aventures épiques des chouettes de "GA'HOOLE", Zack Snyder nous livre enfin le très attendu "SUCKER PUNCH", doté de la même esthétique sombre qui caractérisait ses anciennes réalisations ("300", "WATCHMEN").
Evidemment, les images donnaient bien envie... et de ce côté-là on n'est pas déçus !
Passant d'un univers fantasmagorique – volontairement bourré d'anachronismes – à un autre, le film n'hésite pas à se nourrir de multiples références pour étoffer l'imaginaire de l'héroïne, qui constitue une sorte d'échappatoire à son internement psychiatrique et à sa lobotomie imminente, commandités par son beau-père.

Les influences sont donc nombreuses, mais semblent tout de même concentrées vers la culture manga, l'animation japonaise et les jeux vidéo, avec un soupçon d'Héroïc Fantasy lorsque les héroïnes se frottent à un dragon ou à une armée d'Orcs tout droit sortis du "SEIGNEUR DES ANNEAUX".
Le personnage principal, surnommé Babydoll à juste titre, est à elle seule l'emblème de cette tendance. Coiffée de couettes et affublée d'une tenue d'écolière, la jeune fille, d'apparence innocente, s'impose comme une féroce guerrière lorsqu'armée jusqu'aux dents, elle recourt à des attaques acrobatiques pour neutraliser ses ennemis, non sans rappeler les héroïnes de films d'animation à la "BLOOD THE LAST VAMPIRE" ou toutes celles issues de la mouvance de films nippons à combattantes sexy ("MUTANT GIRL SQUAD", "VAMPIRE GIRL VS. FRANKENSTEIN GIRL", "THE MACHINE GIRL"...), le gore déjanté en moins.

Alors que la première séquence de combat dans un temple contre des samouraïs géants fait beaucoup penser à un univers de jeu type « Soul Calibur », les soldats aux yeux rouges ressemblent à s'y méprendre à ceux de "JIN ROH", tandis que les affrontements à coup d'armes à feu dans des paysages apocalyptiques évoquent un genre de « Call Of Duty » décliné dans différentes époques...
Qu'il s'agisse d'une cité dévastée par des nazis zombies, d'une ville futuriste menacée par des cyborgs ou d'un cabaret aux allures de maison close, les rêveries de Babydoll se substituent à la réalité - déjà un brin fantaisiste - de l'asile psychiatrique des 60's duquel chacune aimerait s'échapper.

Embarquées dans des pérégrinations extraordinaires (assimilables à des niveaux de jeux, avec à la clé l'obtention d'un objet), ces Drôles de Dames version SF fardées à outrance, se surprendront à dépasser leurs limites durant leurs évasions virtuelles, déclenchées par les danses captivantes de Babydoll (jamais visibles à l'écran).
Un patchwork bordélique qui en jette visuellement, mais qui ne dégage malheureusement aucune tension dramatique. Les actrices, choisies logiquement pour leurs atouts physiques, prennent constamment la pose, rendant leurs interventions particulièrement pompeuses... sans parler des pénibles et incessants ralentis et du goût prononcé du réalisateur pour les actes de bravoure...
Le passé tortueux des protagonistes n'est un prétexte pour apporter une caution pseudo psychologique à un scénario qui ne vole finalement pas bien haut, à l'instar de la maladroite scène d'intro, expédiée d'un bloc, comme pour passer le plus rapidement possible à « l'essentiel » : l'action, généreuse en effets spéciaux impressionnants, à grands renforts de tubes musicaux et de reprises, dont certaines interprétées par les acteurs et actrices.
De Eurythmics (pour illustrer l'internement de Babydoll à l'institut Lennox !), à Queen, en passant par Bjork ou encore les Pixies... la bande son prend une place beaucoup trop importante dans le film et le volume poussé à donf finit par devenir agaçant à la longue...

Modestement vendu comme « l'évènement du 7ème art de 2011 pour les 15-35ans », "SUCKER PUNCH" possède d'incontestables qualités techniques au service d'un scénario sans consistance, peuplé de personnages insipides. On adhère... ou pas !

Note de Lan : 5.5 sur 10

Critique du film "SUCKER PUNCH"
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Messagepar GoreObsessed » 01 Avril 2011, 07:44

Lan @ 29.03.2011 à 13:43 a écrit: Les actrices, choisies logiquement pour leurs atouts physiques, prennent constamment la pose


Tu vois qu'il est bien ce film en fait !!!! :P
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Messagepar Killjoy » 02 Avril 2011, 13:58

j'ai beaucoup entendu parler du film via divers médias (Face book, les actu culture des journaux TV), je ne le verrais qu'en blu ray mais pas au ciné...

je pense que Lan tu as fait une critique très objective !
je ne suis pas très fan de Snyder et si je comprends bien, il a beaucoup de mal à se renouveler...

merci pour cette critique qui m'a éclairé et qui garde la tête froide, parce que sur FB ya des gens qui hurlent au chef d'oeuvre, ça me permet de prendre un peu de recul d'avoir lu ta critique, merci Lan ! ;)
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Messagepar BRUNO MATEI » 03 Avril 2011, 09:42

Attendu depuis plus d'un an par une horde de fans surexcités à l'idée du projet (en résumé, dans un monde fantastique, un trio sexy de donzelles armées jusqu'aux dents ont décidé de dépuceler la gente masculine à coups de mitraillettes dégénérés et de sabre acéré !), le nouveau film scénarisé pour la première fois par Zack Snyder accuse une traditionnelle et sévère divergence du côté des critiques bien pensantes et présomptueuses !
Attendu au tournant pour voir enfin aboutir l'accomplissement d'une oeuvre personnelle d'un auteur polémique, Sucker Punch attise la curiosité affolée, délie les traditionnels pré-jugés et engendrent les critiques assassines n'y voyant qu'un énième blockbuster dans la tradition culinaire du genre.
Alors que du côté du public, une flopée de spectateurs téméraires sans influence auront vécu un formidable divertissement fun et débridé, beaucoup plus profond et intelligent qu'il n'y parait.

Je dois avouer qu'après avoir assisté à la projection de Sucker Punch, quelques heures à peine alors que je me décide de divulguer mes impressions à chaud me laisse dans un futile état de doute et de frustration complexée. Non pas que le film m'ait déçu, bien au contraire mais qu'il alterne dans mon psyché dérouté un sentiment persistant d'émotions troublées, désorientées, irritées, déstructurées pour finalement m'apercevoir après le douloureux acte final que le personnage héroïque de Baby Doll reste ancré dans mon esprit pour me hanter l'âme sur ma façon d'envisager mon propre avenir. Mais aussi sur l'influence spéculative que peut exercer sur ma conscience une jeune fille chimérique au passé fustigé, reflet de mes réminiscences indociles et éhontées.
Ce flamboyant concentré de fantasy échevelée, de tendresse innocente, d'action débridée et surtout de quête existentielle sur le sens du courage abouti de mon point de vue personnel à une oeuvre foisonnante hybride, baroque, imparfaite, insolite, hors norme, d'une fragilité insoupçonnée !

Le préambule à l'ambiance superbement gothique, filmée à la manière d'un mini-clip et rythmé par un célèbre tube de Eurythmics amorce dès le départ une empathie certaine auprès de notre jeune héroïne condamnée à se retrouver jusqu'aux restants de ces jours dans un asile psychiatrique pour y être lobotomisée.
Présentation glauque des lieux désaturés accentuant l'aliénation mentale des malades ainsi que la noblesse opaque de personnages perfides avant l'entrée en scène d'un gigantesque décor de salle de théâtre des années 50 !
C'est après avoir fait connaissance avec les commanditaires régissant cette sordide hiérarchie et ses femmes esclaves soumises que Baby Doll va décider de combattre ses faiblesses, sa peur, sa timidité en s'inventant un monde imaginaire. Mais dans son univers irréel se dédouble également celui de sa propre réalité perçue dans le refuge putassier de ce centre médical ! Celui de l'asile transformé dans son esprit en bordel de luxe pour la clientèle de vieillards embourgeoisés. Un réseau de prostitution (lieu perverti influencé par le caractère incestueux du beau-père putanesque) auquel la directrice de l'établissement ordonnera à Baby Doll de se préparer à un cours de danse artistique inscrit dans la sensualité pour appâter cette gente masculine.
Dans un maelström d'images cinglantes furieusement spectaculaires dont la virtuosité technique indiscutable appâte systématiquement la vue et l'ouïe du spectateur désorienté, Zack Snyder nous invite aux rêves introspectifs de notre jeune héroïne accompagnée de fidèles farouches guerrières impliquées dans les combats de front tous plus belliqueux les uns que les autres. Univers post-apocalyptique de guerre mondiale auquel des zombies lobotomisés sont déployés en masse, époque ancestrale moyenâgeuse gouvernée par un dragon ailé ou ville futuriste régie par des cyborgs argentés se succèdent à chaque nouvelle leçon de danse magistralement chorégraphiée dans le délire fantasmé du psyché bouillonant de notre héroïne évasive.
Cette idée insolite, séduisante et originale faisant intervenir à la place d'un show de danse sexy un clip actionner survitaminé possède toutefois son revers de médailles. Les séquences très spectaculaires impliquant des icônes pernicieuses de monstres hérités de la Fantasy ou du jeu-vidéo manquent cependant d'une certaine densité dans l'intensité dramatique. Car les combats incessants que mènent l'héroïne et ses guerrières rebelles au travers de son imaginaire refoulé ne permettent pas de s'impliquer pleinement dans l'action et l'aventure intrépide. Dans le sens émotionnellement parlant puisque l'ennemi envisagé et redouté change à chaque fois d'identité et de lieu et surtout qu'il est éludé d'un véritable enjeu dramatique malgré les indices concourus. Ne subsiste alors que le côté fun et outrancier de l'action survoltée et des décors dantesques incroyablement décharnés.

Je regrette aussi énormément que Baby Doll ne démontre jamais au spectateur ses véritables talents d'artiste innée, chorégraphiant ses pas de danse sur un air musical envoûté d'Eurythmics ou de Bjork !
Régulièrement, durant la projection, je me suis dit que cette fois-ci nous allons avoir droit à une séquence d'anthologie accès sur la sensualité épurée d'une jeune fille photogénique ! Malheureusement, mon espoir fantasmé ne sera jamais exaucé et Zack Snyder gardera la cadence du caractère ultra spectaculaire pour ses scènes d'actions festives et jouissives (comme la séquence faisant intervenir un dragon démesuré en plein donjon moyenâgeux, proprement impressionnante et fascinante d'imagerie épique !) avant la dernière demi-heure d'une riche intensité dramatique.

C'est cette dernière partie particulièrement dure et assombrie dans les conflits humains fustigés que le récit prend une ampleur dramatique soudainement austère et brutale.
Depuis le début, on s'était rendu compte de la portée métaphysique du script et que toute cette équipée féministe pleine de bruit et de fureur investie à travers l'esprit tourmenté d'une jeune fille esseulée est un véritable cri du coeur asséné aux défavorisés des athées. De ceux qui ont la malchance de ne pouvoir trouver la foi en la création de son propre monde. Que chacun est maître de son destin, qu'il suffit de trouver la clef qui est en soi pour pouvoir se libérer de nos démons carnassiers, nos craintes tant redoutées et d'affronter avec risque notre nouvel univers matérialisé.
Sucker Punch souhaite aussi nous convaincre que les anges existent, sous quelque forme qu'il se représente et que nous possédons tous cette entité bienfaitrice à nos côtés, prête à nous épauler ou favoriser si l'on veut bien se prendre la peine de croire à nos rêves les plus insensés. A moins que le devoir de sacrifice nous rappelle à la raison et nous transforme nous même en ange purificateur afin de pouvoir sauver la vie de celui ou celle que l'on chéri.

Dans le rôle de Baby doll, la jeune Emilie Browning apporte une belle part de séduction et de charme probant dans une composition en demi-teinte d'héroïne aussi téméraire, combative que chétive et angoissée, à deux doigts de la vulnérabilité. Doté d'un charisme troublant dans sa physiologie blême et pastel, la comédienne confirmée semble habitée par sa prestance capitale militante pour la quête identitaire, la foi au courage et au dépassement de soi.

Submergé d'une BO rock à l'énergie véhémente et louablement interprété par des jeunes comédiennes aussi attachantes et survoltées que fragiles et anxiogènes, Sucker Punch sera peut-être le genre de spectacle atypique qui permettra de se bonifier avec les faveurs du temps. D'une richesse thématique universelle dans sa philosophie existentielle et d'une acuité de sensibilité bouleversante dans sa dernière partie élégiaque, une seconde vision serait alors sans doute plus abordable et profitable à accepter la structure narrative potentiellement rebutante de Snyder. Sans compter que ce réalisateur fantasque rend également un bel hommage au cinéma de l'imaginaire permettant ainsi de pouvoir libérer notre esprit tourmenté de nos fêlures personnelles mises en exergue dans notre société austère davantage totalitaire, égocentrique et répressive.
Dans tous les cas, cette oeuvre insolite est l'exemple type du blockbuster intelligent qui ose proposer au spectateur quelque chose de singulier, d'assez unique et de profondément viscéral dans son humanité torturée, au risque de dérouter et de laisser certains spectateurs dubitatifs.
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Messagepar BRUNO MATEI » 03 Avril 2011, 09:55

Killjoy, tu dis que tu n'es pas très fan de Snyder alors que tu as surkiffé 300 et que tu regrettes de ne pas avoir acheté la version director's cut de Watchmen ! ? Alors que sur FB, je n'ai encore vu personne crier au chef-d'oeuvre pour Sucker Punch !

De plus, tu dis (de tes propres mots) que tu attends avec impatience LE ROYAUME DE GA'HOOLE que tu as commandé sur le net !

Ca te permet de prendre du recul Killjoy mais de toute manière le nouveau Snyder se fait incendier par la majorité des critiques !

Alors dit moi l'ami, aujourd'hui, tu es Jekyll ou Mr Hyde ? ;)
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Messagepar Killjoy » 03 Avril 2011, 10:10

je n'ai pas vu 300 encore
je compte bien voir Ga Hoole
en fait le seul Snyder que j'ai vu est L'armée des morts...

je respecte ce réal mais je ne le place pas dans mes impératifs primoridaux de visionnages !

je pensais à Luke Iron mars de FB et je trouve son enthousiasme convaincant

je trouve que c'est bien qu'OMG garde ses distances et soit objectif, la tête froide pour la critique qui a été faite...

je verrais probablement Sucker punch mais pas au cinéma, je déteste l'ambiance en salles pour ce genre de films (les gens qui gueulent, ne pas pouvoir apprécier le film en toute tranquilité)

ça a l'air effectivement très couillu mais ne nous emportons pas aveuglément, dans un film il y a le fond ET la forme

il me semble, au vu de ce que j'ai lu, que la Forme ait été beaucoup plus privilégié qu'un vrai scénar

ce qui n'empêche pas un film d'avoir des qualités tout de même !

pour Jekyll et Hyde, je ne dirais qu'une chose, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis :)
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Messagepar BRUNO MATEI » 03 Avril 2011, 10:28

Mais Lan ne représente pas tous les membres de OMG Killjoy, elle a donné son point de vue personnel, pas ceux des autres.
Et je respecte totalement son avis.

Moi, perso, je ne m'emporte pas aveuglément, j'ai simplement encore constaté que tu sembles quelqu'un de contradictoire qui peut vite changer d'opinion et qui joue sur 2 tableaux. Car pour moi, tu n'es pas le même personnage sur FB, d'ou mon allusion à Jekyll et Hyde.

Justement, il y a bien un fond essentiel dans Sucker Punch.
Et tu dis que n'est pas très fan de Synder alors que tu n'as vu qu'un seul film de sa carrière.

Excuse moi pour 300 alors mais vu ta fougue à te l'être approprié en blu-ray je pensais que tu l'avais déjà vu...
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Messagepar Killjoy » 03 Avril 2011, 10:52

bon de toutes façons ce n'est pas très important, on ne raisonne pas forcément pareil sur un forum de discussion que sur FB, les conditions et les discussions ne sont pas tout à fait identiques... :)

quoiqu'il en soit, je t'informe dès à présent que je vais regarder 300 cet après midi en rentrant chez moi, pour me faire une idée plus complète sur le bonhomme Snyder B)

et je verrais Sucker punch quand il sortira en blu ray
et Ga hoole va être commandé ce mois ci (je suis très curieux de le voir !) :woot:

ce qui compte avant tout c'est de transmettre sa passion, que ce soit sur des forums ou sur FB ! B)
le reste est sans importance !

je donne mon avis sur 300 cet aprèm ! ;)
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Messagepar GoreObsessed » 03 Avril 2011, 12:47

Sinon pour revenir au film, en ce moment j'ai de plus en plus de mal à aller au ciné de peur de me gacher un film avec une version cravate's cut, et j'ai tendance à attendre une version director's cut en dvd/bluray...

Dans le cas de ce film, que dois-je faire ??????
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