J-6
Et dire que demain au kinépolis ils font la trilogie pour 9 mais je ne peux pas y aller
Saw 3
par Harsenik » 16 Novembre 2006, 22:16
asath @ 16.11.2006 à 21:22 a écrit: interdit au moins de 18ans! et hop!
serieux ?? ta vus ça ou ??
bon spa tres grave m'enfin avec une anotation pareil si ya pas de la tripaille je suis déçus moi 
cela dit c'est pas plus mal que la censure française ce reveille un peut ^^ car depuis un moment j'ai l'impression que c'est bambi -16 mais pornotopia -10 ...
Hars', mais comment t'as fait pour casquer 40 balles et le voir au ciné ?- killjoy- banlieu 13
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par Harsenik » 17 Novembre 2006, 17:50
The Trooper @ 17.11.2006 à 07:42 a écrit: c'est ecrit en gros sur les affiches....
roooooo merde je passe devant toutes les semaines et j'ai meme pas encore calculé , j'ai honte
cela dit la censure m'éclate taxidermie passe ... saw trepasse ...... mouarf lol
Hars', mais comment t'as fait pour casquer 40 balles et le voir au ciné ?- killjoy- banlieu 13
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par Maniak » 17 Novembre 2006, 18:05
asath @ 16.11.2006 à 20:22 a écrit: interdit au moins de 18ans! et hop!
hahaha ça devient n'importe quoi
bon, franchement je pense que ce sera une bouse, mais comme d'habitude j'arriverais pas à résister à allez voir du gore au ciné, donc...
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par asath » 22 Novembre 2006, 12:17
Saw III interdit aux mineurs en France pour "violence insoutenable"
Le film d'horreur américain "Saw III" interdit au moins de 18 ans: cette mesure de restriction rarissime, annoncée mardi, est justifiée pour la première fois par la seule violence des images, en l'absence de toute scène de sexe explicite, ce qui inquiète certains professionnels.
Après avoir visionné ce film d'1H45 de Darren Lynn Bousman, qui sort mercredi sur les écrans, le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres a justifié sa décision en évoquant "la violence et le sadisme incessant et insoutenable de scènes s'apparentant explicitement à des tortures physiques et morales".
La mesure "n'interdit pas" la distribution du film dans les salles, mais rend nécessaire, lors d'une diffusion télévisée, "un cryptage et un contrôle parental", a souligné le ministre.
Le distributeur du film, Metropolitan Filmexport, a affirmé mardi "regretter vivement" cette décision, arguant que "le cinéma d'horreur repose sur une représentation irréaliste de la violence" que "les adolescents ont la maturité de comprendre et d'apprécier".
"Le film de genre appartient au cinéma mondial, il risque d'être condamné en France", s'inquiète Metropolitan Filmexport.
"Saw" (2004) et "Saw II" (2005) avaient été interdits aux moins de 16 ans en France, mais le troisième épisode des aventures du "Tueur au puzzle" a suscité l'ire de la Commission de classification des oeuvres cinématographiques, qui a recommandé à deux reprises son interdiction aux moins de dix-huit ans.
Chapeautée par le Centre national de la cinématographie (CNC), la commission présidée par Sylvie Hubac pointe une "succession ininterrompue de scènes de très grande violence et une accumulation d'images de torture gratuite".
Le ministre, qui tranche en dernier ressort, lui a donné raison en délivrant un visa d'exploitation assorti d'une interdiction aux moins de 18 ans, bien que le film ne soit pas pornographique (classé X), un cas de figure créé par un décret du 12 juillet 2001.
Depuis, il n'a concerné que quatre films: "Baise-moi" de Virginie Despentes, "Polissons et galipettes" de Michel Reilhac, "Ken Park" de Larry Clark et Edward Lachman, et enfin "Nine songs" de Michael Winterbottom, qui tous contenaient de nombreuses scènes de sexe.
La restriction qui frappe "Saw III" a suscité une levée de boucliers auprès des professionnels du cinéma.
Le film est le seul dans "toute lhistoire du cinéma à être interdit aux mineurs excepté les films X" ou "comprenant des scènes quasi pornographiques", s'est émue la Société des réalisateurs des films (SRF) dans un communiqué commun avec le Groupement national des cinémas de recherche (GNCR).
Or, la violence de ses images "nest en rien supérieure aux standards du cinéma de genre, codifiés et second degré, plébiscité par les adolescents", juge la SRF.
A la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD), Pascal Rogard rappelle que depuis un décret de 2003, une majorité simple, et non plus une majorité qualifiée des deux tiers, suffit pour interdire un film aux moins de 18 ans, "ce qui risque de banaliser une interdiction qui rend très compliquée la diffusion en salles et à la télévision".
La Fédération nationale des distributeurs de films et le Syndicat français de la critique de cinéma se sont émus d'une "hausse générale du niveau de la censure".
Aux Etats-Unis où il est sorti en octobre, "Saw III" a été autorisé pour les mineurs de moins de 17 ans accompagnés d'un adulte (classification R), après sept recours des producteurs.
www.20minutes.fr
Le film d'horreur américain "Saw III" interdit au moins de 18 ans: cette mesure de restriction rarissime, annoncée mardi, est justifiée pour la première fois par la seule violence des images, en l'absence de toute scène de sexe explicite, ce qui inquiète certains professionnels.
Après avoir visionné ce film d'1H45 de Darren Lynn Bousman, qui sort mercredi sur les écrans, le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres a justifié sa décision en évoquant "la violence et le sadisme incessant et insoutenable de scènes s'apparentant explicitement à des tortures physiques et morales".
La mesure "n'interdit pas" la distribution du film dans les salles, mais rend nécessaire, lors d'une diffusion télévisée, "un cryptage et un contrôle parental", a souligné le ministre.
Le distributeur du film, Metropolitan Filmexport, a affirmé mardi "regretter vivement" cette décision, arguant que "le cinéma d'horreur repose sur une représentation irréaliste de la violence" que "les adolescents ont la maturité de comprendre et d'apprécier".
"Le film de genre appartient au cinéma mondial, il risque d'être condamné en France", s'inquiète Metropolitan Filmexport.
"Saw" (2004) et "Saw II" (2005) avaient été interdits aux moins de 16 ans en France, mais le troisième épisode des aventures du "Tueur au puzzle" a suscité l'ire de la Commission de classification des oeuvres cinématographiques, qui a recommandé à deux reprises son interdiction aux moins de dix-huit ans.
Chapeautée par le Centre national de la cinématographie (CNC), la commission présidée par Sylvie Hubac pointe une "succession ininterrompue de scènes de très grande violence et une accumulation d'images de torture gratuite".
Le ministre, qui tranche en dernier ressort, lui a donné raison en délivrant un visa d'exploitation assorti d'une interdiction aux moins de 18 ans, bien que le film ne soit pas pornographique (classé X), un cas de figure créé par un décret du 12 juillet 2001.
Depuis, il n'a concerné que quatre films: "Baise-moi" de Virginie Despentes, "Polissons et galipettes" de Michel Reilhac, "Ken Park" de Larry Clark et Edward Lachman, et enfin "Nine songs" de Michael Winterbottom, qui tous contenaient de nombreuses scènes de sexe.
La restriction qui frappe "Saw III" a suscité une levée de boucliers auprès des professionnels du cinéma.
Le film est le seul dans "toute lhistoire du cinéma à être interdit aux mineurs excepté les films X" ou "comprenant des scènes quasi pornographiques", s'est émue la Société des réalisateurs des films (SRF) dans un communiqué commun avec le Groupement national des cinémas de recherche (GNCR).
Or, la violence de ses images "nest en rien supérieure aux standards du cinéma de genre, codifiés et second degré, plébiscité par les adolescents", juge la SRF.
A la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD), Pascal Rogard rappelle que depuis un décret de 2003, une majorité simple, et non plus une majorité qualifiée des deux tiers, suffit pour interdire un film aux moins de 18 ans, "ce qui risque de banaliser une interdiction qui rend très compliquée la diffusion en salles et à la télévision".
La Fédération nationale des distributeurs de films et le Syndicat français de la critique de cinéma se sont émus d'une "hausse générale du niveau de la censure".
Aux Etats-Unis où il est sorti en octobre, "Saw III" a été autorisé pour les mineurs de moins de 17 ans accompagnés d'un adulte (classification R), après sept recours des producteurs.
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par Killjoy » 22 Novembre 2006, 12:30
on est vraiment à la ramasse en France !!!
ça craint pour les mineurs qui voulaient voir ce film dans les salles obscures !!!
faudra attendre la sortie en DVD !!!
les majeurs se régaleront et pourront voir ce troisième opus au cinéma !!!
c'est quand même abuser quand on voit ce qui est autorisé à la TV (télé réalité et consorts qui sont bien plus nocifs que des films comme Saw 3)
ça craint pour les mineurs qui voulaient voir ce film dans les salles obscures !!!
faudra attendre la sortie en DVD !!!
les majeurs se régaleront et pourront voir ce troisième opus au cinéma !!!
c'est quand même abuser quand on voit ce qui est autorisé à la TV (télé réalité et consorts qui sont bien plus nocifs que des films comme Saw 3)
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