Ce chapitre final (sois disant ), nous sert la même recette que les précédents , sauf qu'ici la promesse de plus de pièges et compteurs à rebours est respectée.
Le point positif du métrage est celui du divertissement à l'emporte pièce , alors que le scénario se mange la queue tout de même.
Pour ma part j'ai toujours trouvé la photographie dégueulasse même dans le premier opus, qui est de loin le meilleur, (comme dans la plupart des séries d'ailleurs ).
Un montage sans aucune liaison artistique qui ne veut aller qu'à l'essentiel , le directeur de la photographie est plus qu'un amateur en la matière et rejoint un ensemble au ras des pâquerettes
mais cela reste dans la continuité depuis le début.
néanmoins, comparer à d'autres séries comme Vendredi 13 par exemple, l'intérêt du scénario même alambiqué à l'extrême à le mérite d'être moins puéril qu' un Jason en définitive .
Une triologie mieux réalisée de deux heures chacune aurait eue plus d'impact pour une idée très intéressante au départ
.
Rétrospectivement cela se regarde sans plus de conviction en souriant par moments sur le sadisme et la perversité imaginés pour les pièges.
Au vue des autres séries, celle ci n'a pas à rougir.
Elle aura marquée son époque avec un fil conducteur intéressant :
se mentir à soi même ou reconsidérer ses priorités.
Le premier opus avait le même avantage qu'un "Scream " qui relevait le niveau et nous épargnait des morts vivants et autres croquemitaines.
14/20 sans plus de conviction ,