Réalisateur(s) : Jack Messitt
Scénariste(s) : Mark Garbett & Jack Messitt
Genre(s) : Horror
Pays : USA
avec Rebekah Brandes, Daniel Bonjour, Mandell Maughan, Greg Cirulnick, Stan Ellsworth...
Calqué sur le modèle de "CUT", rappelez-vous de ce slasher australien orchestré par Kim Rendall où le tueur masqué d'un sac de poubelle étiré (à l'extrême) sectionné la langue d'une certaine Kylie Minogue, "MIDNIGHT MOVIE" possède désormais un site animé (player flash recommandé).
Au programme donc trailers, galerie photos, synopsis, des goodies, et les filmographies de l'équipe.
Rappel du synopsis: Des spectateurs fans de films d'horreur sont conviés à une séance dite spéciale d'un métrage jamais présenté. Il s'avère qu'en effet la bobine est maudite et est hanté par l'âme d'un sérial killer/acteur qui a participé au film. La nuit risque d'être longue et horrifiante dans cette salle de cinéma...
Pour visiter le site :
http://www.midnightmovie.com
http://www.ohmygore.com/MIDNIGHT-MOVIE- ... -4213.html
Midnight Movie
4 messages
• Page 1 sur 1
par Cosmocats » 06 Février 2008, 14:12
Ouais grave, j'y ai pensé aussi mais à la vue des trailers le serial killer opte pour le look de BEHIND THE MASK et la mise à mort à la CUT 
Ultra classique comme scénario mais bon ça pourrait donner un film bon...
Ultra classique comme scénario mais bon ça pourrait donner un film bon...
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Cosmocats - Oh My Gore ! Worshipper
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par Oh My Gore » 06 Décembre 2009, 19:53
.: L'HISTOIRE
Dans un petit cinéma de quartier quelques spectateurs viennent assister à la séance de minuit afin de se délecter devant un classique de l'horreur. Tout se passe bien jusqu'à ce que les spectateurs se fassent tuer un par un par le tueur sortie tout droit du film.
.: LA CRITIQUE
Décidément le genre du slasher n'est pas prêt de mourir. Le genre étant régulièrement relancé par un petit succès tous les 10 ans, qui est aussitôt copié et recopié jusqu'à épuisement du filon.
Depuis "SCREAM" on assiste à une vague auto référentielle, qui à grand renforts d'hommages, de citations et de remakes, nous replonge dans les petits classiques des seventies.
Si "Midnight Movie" est de ceux qui surfent sur cette vague, ce n'est pas le plus con mais pas non plus le plus réussi.
Avec une histoire qui nous rappelle "LA ROSE POURPRE DU CAIRE", "DéMONS 1" et "DéMONS 2", "CUT" et j'en passe, celui ci fait traverser l'écran à ses protagonistes qui se retrouvent alors dans le film projeté dans le film (vous suivez?). Et oui car ici on passe d'un coté à l'autre de l'écran argenté, basculant de la réalité à celle très subjective du vieux film de genre. Une idée qui si elle n'est pas complètement neuve est tout de même intéressante et nous change un peu des sempiternelles forêts et soirées de teenagers à deux balles.
Là ou le bas blesse c'est que les possibilités d'une telle idée de départ sont plus que sous exploitées et ne constituent en fait qu'un gimmick bien simpliste et on finit par assister malgré tout à un spectacle pas si différent des aventures de nos tueurs masqués habituels.
On rêve de ce qu'aurait pu être cette histoire avec un script un peu plus original et qui n'aurait pas couté beaucoup plus cher. Il faut préciser que le budget minime de 1 million de dollars est pourtant bien utilisé et le film parait en valoir au moins le double, et c'est un détail appréciable.
Les personnages traversent donc l'écran pour vivre la même chose que dans la réalité, avec certes une ou deux petites trouvailles drolatiques mais à peine entrevues. Un traitement façon "LAST ACTION HéRO" ou "BEHIND THE MASK: THE RISE OF LESLIE VERNON"(en inversé) aurait pu booster ce qui est au final est une petite bande sympatoche, digne d'une projection de "Minuit", mais qui ne dépasse hélas jamais ce stade.
Pour les amateurs, un peu de gore bien exécuté, un tueur au look pas très novateur, mais on a vu pire.
Les ados ne sont pas vraiment plus malins que la moyenne, sans tomber dans le crétin total et le final évite le twist trop ringard, ce qui est déjà bien, mais sans étincelles non plus (oubliez donc le feu d'artifice). Ha oui, j'oubliais, je sais que c'est important pour certains et je ne porte pas de jugement, je doit préciser qu'il n'y a pas un nichon à la ronde. Tenez vous le pour dit, les érotomanes!
Si on veut être tatillon on peut parler de l'arme du crime, qui se rapproche du tire bouchon en forme de cône, certes originale et esthétique mais qui serait fort peu dangereuse dans la réalité.
On pourrait aussi se demander pourquoi le film projeté, qui ressemble à "MASSACRE à LA TRONçONNEUSE" est il en noir et blanc, alors que ceux dont il s'inspire étaient tous en couleur?
Si vous êtes donc un consommateur effréné de l'équeutage de jeunes boutonneux, vous pourriez tomber sur pire, mais si vous cherchez le film de l'année, tournez vous plutôt vers "THE HILLS RUN RED" au sujet un peu similaire du film d'horreur culte mais qui l'aborde avec beaucoup plus d'intelligence et d'efficacité, tout en restant ancré dans le réel, ce qui reste bien plus flippant.
Note de ottorivers : 5.5 sur 10
Critique du film "MIDNIGHT MOVIE"
Critique du DVD du film "MIDNIGHT MOVIE" sorti chez Bigfoot Entertainment
Dans un petit cinéma de quartier quelques spectateurs viennent assister à la séance de minuit afin de se délecter devant un classique de l'horreur. Tout se passe bien jusqu'à ce que les spectateurs se fassent tuer un par un par le tueur sortie tout droit du film.
.: LA CRITIQUE
Décidément le genre du slasher n'est pas prêt de mourir. Le genre étant régulièrement relancé par un petit succès tous les 10 ans, qui est aussitôt copié et recopié jusqu'à épuisement du filon.
Depuis "SCREAM" on assiste à une vague auto référentielle, qui à grand renforts d'hommages, de citations et de remakes, nous replonge dans les petits classiques des seventies.
Si "Midnight Movie" est de ceux qui surfent sur cette vague, ce n'est pas le plus con mais pas non plus le plus réussi.
Avec une histoire qui nous rappelle "LA ROSE POURPRE DU CAIRE", "DéMONS 1" et "DéMONS 2", "CUT" et j'en passe, celui ci fait traverser l'écran à ses protagonistes qui se retrouvent alors dans le film projeté dans le film (vous suivez?). Et oui car ici on passe d'un coté à l'autre de l'écran argenté, basculant de la réalité à celle très subjective du vieux film de genre. Une idée qui si elle n'est pas complètement neuve est tout de même intéressante et nous change un peu des sempiternelles forêts et soirées de teenagers à deux balles.
Là ou le bas blesse c'est que les possibilités d'une telle idée de départ sont plus que sous exploitées et ne constituent en fait qu'un gimmick bien simpliste et on finit par assister malgré tout à un spectacle pas si différent des aventures de nos tueurs masqués habituels.
On rêve de ce qu'aurait pu être cette histoire avec un script un peu plus original et qui n'aurait pas couté beaucoup plus cher. Il faut préciser que le budget minime de 1 million de dollars est pourtant bien utilisé et le film parait en valoir au moins le double, et c'est un détail appréciable.
Les personnages traversent donc l'écran pour vivre la même chose que dans la réalité, avec certes une ou deux petites trouvailles drolatiques mais à peine entrevues. Un traitement façon "LAST ACTION HéRO" ou "BEHIND THE MASK: THE RISE OF LESLIE VERNON"(en inversé) aurait pu booster ce qui est au final est une petite bande sympatoche, digne d'une projection de "Minuit", mais qui ne dépasse hélas jamais ce stade.
Pour les amateurs, un peu de gore bien exécuté, un tueur au look pas très novateur, mais on a vu pire.
Les ados ne sont pas vraiment plus malins que la moyenne, sans tomber dans le crétin total et le final évite le twist trop ringard, ce qui est déjà bien, mais sans étincelles non plus (oubliez donc le feu d'artifice). Ha oui, j'oubliais, je sais que c'est important pour certains et je ne porte pas de jugement, je doit préciser qu'il n'y a pas un nichon à la ronde. Tenez vous le pour dit, les érotomanes!
Si on veut être tatillon on peut parler de l'arme du crime, qui se rapproche du tire bouchon en forme de cône, certes originale et esthétique mais qui serait fort peu dangereuse dans la réalité.
On pourrait aussi se demander pourquoi le film projeté, qui ressemble à "MASSACRE à LA TRONçONNEUSE" est il en noir et blanc, alors que ceux dont il s'inspire étaient tous en couleur?
Si vous êtes donc un consommateur effréné de l'équeutage de jeunes boutonneux, vous pourriez tomber sur pire, mais si vous cherchez le film de l'année, tournez vous plutôt vers "THE HILLS RUN RED" au sujet un peu similaire du film d'horreur culte mais qui l'aborde avec beaucoup plus d'intelligence et d'efficacité, tout en restant ancré dans le réel, ce qui reste bien plus flippant.
Note de ottorivers : 5.5 sur 10
Critique du film "MIDNIGHT MOVIE"
Critique du DVD du film "MIDNIGHT MOVIE" sorti chez Bigfoot Entertainment
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