Dernière maison sur la gauche, La

-> Le gros Gore qui tache et les films dégueux à vomir

Messagepar Gama08 » 17 Mars 2009, 11:09

Oui, oui, c'est vraiment lui ! B)
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Messagepar ottorivers » 17 Mars 2009, 13:53

Bon j'avoue, c'était pour faire ma vanne de merde. :rolleyes:

Elles sont pas mal les autres faut dire, mais c'est bizarre Gama et Kill n'ont d'yeux que pour toi. :huh:

Mais ben sur ils ne sont pas Gays.(hum, hum)
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Messagepar funny man » 17 Mars 2009, 14:45

Photoshop mon amour si tu nous lis.....

Et on se calme, je vous préviens j'ai mis ma ceinture de chasteté et j'ai avalé la clef...bande de malandrins…

Ce topic n'a plus aucun rapport avec la derniere maison sur la gauche, va falloir recadrer ... :angry:
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Messagepar ottorivers » 17 Mars 2009, 15:02

Au contraire, ça commence a devenir malsain, attends d'avoir "Killjoy" gravé sur la poitrine, tu verras.


De toutes façons il n'y a plus rien à dire sur ce film. :D
Bon j'arretes. :(
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Messagepar SUSPIRIA » 18 Mars 2009, 17:20

Si ! y'a encore une dernière chose !
Ca sort chez nous le 22 AVRIL !

(en attendant un divyx... :D )
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Messagepar Killjoy » 19 Mars 2009, 20:22

Gama08 @ 17.03.2009 à 09:20 a écrit: vraiment bel homme notre Funny ! ^_^


le véritable visage de notre Gama National :
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le torse de Funny :
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:P :P
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Messagepar jigsaw » 19 Mars 2009, 20:51

la critique postee en haut, d'un canard ( WC, ici) canadien, fait penser a un mec qui a tout compris au film de CRAVEN ( amateurisme), ne devait meme pas savoir qu'il existait avavnt de le voir, et donc, a un specialiste, quoi... Un peu dans le style TELERAMA ou les INROCCKUPTIBLS, quoi... :D

Tu m'etonnes que des scenes hard ont ete sucrees, je pense pas qu'un arrachage de couilles meme en contre champ, ca passe de nos jours... Fallait s'en douter...Enfin, je suis quasi certains qu'on a la, la chiasse de l'annee... Ce n'tait pas TWILIGHT comme je le craignais, je vois que c'ui la !... :(


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Messagepar SUSPIRIA » 03 Avril 2009, 04:59

ATTENTION !!!! Avant de lire ce qui va suivre, y'en a qui vont faire des bons de 10 mètres de leur siège !!!!!!!!!!!!!!!!

Le blogueur tib20011 livre son analyse de ce qui s'avère être une des bonnes surprises de l'année, à savoir le remake de La dernière maison sur la gauche, qui sortira le 22 avril dans les salles obscures. Comme quoi, Alexandre Aja n'est pas le seul à pouvoir revisiter tout en la transcendant une oeuvre horrifique culte de Wes Craven.
S'ils nous ont prouvé qu'ils ne savaient vraiment pas faire de remakes de films asiatiques (Les Intrus étant le dernier massacre en la matière), les studios nous ont en revanche livré des remakes de plus en plus complexes et de plus en plus travaillés. En haut de la file, L'armée des morts version Zack Snyder, pour moi le plus représentatif d'un remake qui reprend une idée de départ et livre un film totalement jouissif pour les fans. Les autres aimeront le film autant que ceux qui vénèrent Romero, et c'est l'important. Idem pour Massacre à la tronçonneuse et surtout La colline a des yeux. Ce dernier, réalisé par Alexandre Aja, était vraiment une claque absolue de bout en bout, jusqu'au-boutiste et rentre-dedans. D'où l'espoir mis dans La dernière maison sur la gauche.

Les similarités sont là : remake d'un film de Wes Craven qui a très mal vieilli, Craven que l'on retrouve à la production, et un réalisateur européen responsable d'un premier film inspiré (Hardcore). Encore une fois, pas de têtes d'affiches, mais des acteurs avant tout. Et force de constater, après une première bande-annonce superbe (sur la reprise de « Sweet Child O'Mine » par Taken By Trees), que La dernière maison sur la gauche est une réussite dans le genre. Ou quand le sérieux revient vous mettre un pavé dans la gueule. Car le film n'a rien de cynique, d'ironique ou de satirique. Il s'agit d'une vraie plongée en enfer partant sur un concept simple mais malin : et si les parents d'une victime d'un groupe de psychopathes avaient la chance de se venger ? C'est le point d'arrivée du métrage qui commence assez lentement, faisant des 15 premières minutes une petite traversée de croisière pour les fans du genre. Présentation des personnages, une adolescente douée à la nage (Sara Paxton, autrement meilleure que dans Aquamarine) et ses deux parents (le génial Tony Goldwyn, réalisateur de The Last Kiss, et Monica Potter, toujours magnifique), qui filent vers un week-end à la campagne un an après la mort accidentelle du petit dernier.
La première chose qui saute aux yeux est la maîtrise totale de la réalisation par Dennis Illiadis. Le bonhomme a une caméra inspirée, faisant de son film une expérience jamais plate, un film d'horreur jamais cheap. La photographie va dans ce sens, offrant un superbe contraste entre les scènes de jour glauques et les scènes de nuit effrayantes. Rien que ce plan qui suit Mari jusqu'à la cabane sur le lac vaut son pesant d'or. Une Mari qui décide de quitter le cocon familial pour rejoindre son amie Paige (Martha MacIsaak de Superbad). Et après une partie de drogue avec le revenant Spencer Trevor Clark (le petit de Incassable), le groupe se retrouve face à face avec Krug et sa bande qui nous a été introduite quelques dizaines de minutes plus tôt. A partir de l'entrée en scène de Garret Dillahunt dans le film, le métrage ne perd pas une seconde et nous emmène assez loin. La présence de l'acteur de Deadwood et Jesse James est impressionnante, le bonhomme est véritablement capable de faire ressortir des traits de personnalité à un psychopathe comme Krug, violent patriarche qui prend en charge sa bande et prend les mauvaises décisions. Mais Krug n'a rien d'un fou, ce qui le transforme en danger permanent. Il sait ce qu'il fait, il connaît ses forces, et il est prêt à tout pour s'échapper.

La première partie de l'expérience est donc la torture qu'il fait subir à Mari et Paige après un accident de voiture. Tuant la première froidement avec un couteau, Krug va jusqu'à violer Mari sous les yeux de ses pairs, dans ce qui restera une séquence éprouvante et maîtrisée de bout en bout. Contrairement à l'original qui offrait des violences gratuites à tout bout de champ (le pipi dans la culotte reste l'un des trucs les plus gratuits jamais fait), le nouveau film ne part pas aussi loin et reste dans le crédible, dans la mesure où Krug est bel et bien un salopard qui n'a aucune limite. Sans compter la maîtrise totale du montage, de la musique (John Murphy tout de même !) et de la mise en scène, transformant chaque coup porté aux héroïnes comme un coup de poing dans nos tripes. L'histoire prend vraiment à la gorge, et on se sent immédiatement concerné par le destin de Mari. Parce que le film n'implique pas des jeunes débiles, des sous-intrigues avec des policiers ou des explications farfelues.

Le métrage reste un « petit » film d'horreur, mais un sacré bon, rappelant la claque The Strangers. Il ne s'agit plus de mettre une musique qui fait peur quand un tueur est derrière le héros. Il s'agit de faire monter la tension, l'angoisse. Et la deuxième partie le fait parfaitement bien lorsque le groupe se réfugie dans la maison des parents de Mari... et que cette dernière revient, violée et blessée. Toujours réaliste, ne partant jamais en vrille (les interventions du père docteur sont crédibles et informatives), le film part donc dans la quête de vengeance des deux parents qui ne savent pas s'ils font le bon choix, mais qui doivent sauver leur fille coûte que coûte. Une séance de séduction qui finit par une main dans le broyeur, une surprise dans la chambre qui finit par une balle dans le crâne et un dernier combat qui se poursuit dans la maison, le tout mené avec un suspense impeccable et une tension permanente.

Plus que l'horreur, on est dans le thriller, si l'on enlève cette petite scène de vengeance pure et dure qui précède le générique, et qui derrière son aspect purement burlesque et jouissif (le contraire du métrage) met surtout en avant les techniques de Illiadis pour intéresser le spectateur : est-ce que cette vengeance était justifiée ? Est-ce que vous auriez tué et torturé les psychopathes qui ont blessé votre fille à vie ? Et le pire, c'est que la réponse est oui... nous sommes prêts à tout pour sauver notre famille. La dernière maison sur la gauche fait vraiment plaisir à voir. Car aujourd'hui, un film aussi régressif et jouissif que My Bloody Valentine ou Vendredi 13 peut coexister avec un film parfaitement sérieux comme celui-ci. Les producteurs auraient-ils compris qu'il n'y a pas qu'un seul sous-genre dans le cinéma d'horreur ?

Note : 8/10 (blog DVDRAMA)

Well done ! (avis d'un lecteur)
Texte agréable pour un film qui s'annonce bien plus fun à voir que prévu ! On le dit peu, alors autant ne pas se priver ici ...

Cool !
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Messagepar SUSPIRIA » 20 Avril 2009, 07:09

La dernière maison sur la gauche plebiscité par la presse !!!!! (????)
Les journalistes aiment le remake de Wes Craven !!! (??????)

Pour ceux qui croient à un canular se reporter sur le site ECRANLARGE
les journalistes ont la parole en vidéo !
(y'a Christophe Gans qui m'a mis sur le cul !!! :blink: les autres aussi, lol)

CRITIQUE D'ECRAN LARGE:

Pour les plus jeunes, pour ceux qui ne le sauraient pas ou qui s'en foutent, La dernière maison sur la gauche est le remake du premier film de Wes Craven. Voilà en effet un réalisateur qui ne semble laisser personne insensible et surtout pas une génération arrivée à maturité de cinéma puisque La dernière maison sur la gauche est le second film remaké en provenance de sa filmographie après La colline a des yeux réalisé par notre Alexandre Aja national et en attendant Shocker et Le sous-sol de la peur.

C'est que Wes Craven a incontestablement ouvert la voie dans les années 70 à un cinéma déviant, craspec et formidablement évocateur car puisant son inspiration dans l'actualité d'une société américaine en pleine réfutation de ses bases idéologiques. La dernière maison sur la gauche en était la première pierre certes inaboutie mais qui a laissé une telle empreinte indélébile qu'elle a donc inspiré un illustre inconnu d'origine grec dénommé Dennis Iliadis (son seul fait d'arme à date étant Hardcore nanti tout de même d'une réputation sulfureuse) qui a réalisé là sans conteste un film choc, définitif et incontestablement réussi.

À cela plusieurs raisons mais la plus évidente tient en quelques mots : fidélité au matériau de base pour mieux s'en éloigner. En effet pas question ici de se replonger dans les vicissitudes du trauma post-Vietnam, pas question de remettre au goût du jour des idéaux qui n'ont de toute façon plus lieux d'être. Seul compte ici la thématique centrale posée et développée sans cesse par Craven tout au long de sa filmographie : les victimes peuvent devenir elles aussi des bourreaux aussi impitoyables que ceux qui sont à l'origine de cette transformation. La dernière maison sur la gauche version Iliadis est dès lors un film gore, sans concession quant à la démonstration et l'effet recherchés. C'est ce qui fait sa faiblesse toute relative mais surtout sa force tranquille.

Le film avance sans regarder derrière-lui et les cadavres laissés sur le bas-côté. Rien n'est gratuit, ou plutôt si tout est gratuit mais fortement ancré dans un réalisme hypnotique qui nous fait dire que tout cela est arrivé ou peut arriver. Ce que le film de Craven essayait de (dé)montrer sans y arriver vraiment (l'homme est un loup pour l'homme et les plus féroces ne sont pas ceux que l'on croit), la réplique sismique Iliadis y arrive par des voies certes plus frontales (entendre par là, sans autres idéologies et volontés que celle de faire un film dit d'entertainment) sans pour autant dénaturer le propos voulu initialement bien au contraire.

La réussite est telle que l'on ne peut s'empêcher de penser à Funny Games de Haneke pour ce qui est de la tension crescendo et vite révoltante prenant à parti un spectateur cueilli à froid mais aussi à Igmar Bergman dont La source est à l'origine de tout et qui bénéficie là d'une caisse de résonance à la démesure de son chef-d'œuvre. Ce n'est pas là le moindre des compliments que l'on puisse faire à l'attention d'un cinéaste dont on attend le prochain film avec déjà beaucoup d'impatience !

SANDY GILLET. 4/5

Ben j'crois que tout compte fait je vais aller me déplacer dans une salle de ciné, moi qui ne voulait pas du tout y aller ! :blink:
La vidéo m'a sérieusement convaincu des qualités (possibles) du remake.
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Messagepar SUSPIRIA » 20 Avril 2009, 08:03

Je viens de lire également une excellente critique sur le site : SCIFI-UNIVERSE.
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