Oh My Gore ! - Forum

[ottorivers]

Maintenant il fait plus dans la profondeur que la hauteur.

[SUSPIRIA]

Rarement l’idée d’un remake aura fait autant de sens, à mon avis. Non seulement, cette nouvelle mouture améliore un film que j’ai détesté, mais il m’a fait rendre compte, à contrecœur, que la version de Wes Craven avait bien quelques qualités.

La famille Collingwood part en vacances dans leur chalet, situé au beau milieu de nulle part. Mari décide de laisser ses parents seuls et d’aller voir son amie Paige. Elles feront la connaissance de Justin, qui est en fait le fils d’un dangereux criminel recherché par la police. Son père et ses deux acolytes décident de se débarrasser des jeunes filles, mais les choses tourneront mal et elles se feront violer et tuer. Les voyous trouvent une maison sur le chemin du retour et demandent l’hospitalité aux occupants. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’ils sont chez les Collingwood et lorsque ceux-ci apprennent ce qui est arrivé à leur fille chérie, ils font goûter aux criminels leur propre médecine.

Le remake de The Last House on the Left ne pourrait être une meilleure chose. À mon avis, l’original était un film médiocre, tourné avec amateurisme. Le réalisateur Dennis Iliadis reprend cette bête dure et sauvage pour lui offrir un "makeover" complet, surtout une job de « body »! The Last House on the Left délaisse le côté faux documentaire amateur et cowboy pour faire place à un long métrage qui a du bon sens. Iliadis procure au film un visuel plus léché et recherché que son prédécesseur. Cependant, le tout ne diverge guère du genre de films qu’Hollywood nous régurgite souvent. Bien que le rafraîchissement fasse du bien, le remake n’apporte rien de visuellement nouveau et ne réinvente pas le genre. En fait, artistiquement, les deux versions ne pourraient pas être plus à l’opposée l’une de l’autre, que ce soit le visuel, la musique, le jeu d’acteurs, la photographie et j’en passe.

Ce qui est ironique, c’est que j’aurais aimé que la nouvelle version possède un peu de ce caractère cru et indécent du film de Wes Craven. Force est d’admettre que l’original avait du chien, était différent. Le remake réussit parfaitement à intégrer des scènes dures à regarder, cependant, c’est le genre de long métrage où pousser la chose un peu trop loin est idéal. Par exemple, dans l’original, la mère séduit un des meurtriers et commence à lui faire une fellation pour finalement lui arracher le pénis avec ses dents. Dans le remake, la mère tente toujours de séduire un des criminels, mais au revoir la scène de fellation. Le meurtre, même s'il est divertissant, est assez générique et ne sort pas de l’ordinaire. Le génie derrière l’idée de la fellation ne tient pas de la perversité, mais plutôt dans l’analyse des personnages, voir jusqu’où ils sont prêts à aller, jusqu’où la barbarie peu prendre le dessus sur l’homme civilisé en nous. Le commentaire social de l’original perd donc ici tout son impact.

Bien que le tout soit adouci comparativement à la version de 1972, l’horreur est quand même extrêmement puissante et dure. De plus, Iliadis ajoute énormément d’intensité dramatique, chose qui manquait cruellement au film de Craven. Bien beau faire dans le « trash », mais il faut quand même apporter une certaine dose de compétence artistique. Les meurtres sont délectables et apportent une certaine jubilation au spectateur, autant à cause du gore que du sentiment de justice qui exalte en nous. Le genre de meurtre où l’on pousse facilement un « Oooh » lorsque le moment juteux arrive. Mais une scène qui est particulièrement mémorable est lorsque le père examine sa fille pour ensuite lui prodiguer les premiers soins. Son père, comme dans l’original, est médecin et il devra guérir sa fille avec les moyens qu’il peut. À faire frissonner.

The Last House of the Left n’est pas le meilleur de sa catégorie, mais est l’un des remakes les mieux réussis et justifié. Peut-être que dans vingt ans, la mode ne sera plus de faire des remakes, mais de les mixer tellement il y en aura. Je verrais bien un film mélanger le talent artistique de cette version avec la brutalité et l’irrévérence du film de Wes Craven.

3,5 / 5. DOMINIC PAULHUS. (HORREUR.WEB)

[ottorivers]

Un peu pourrave comme critique. Exactement du genre de celles dont je me fout royalement, et qui pullulent sur le net. Comparer deux films dont l'un avait à peine le budget PQ de l'autre sur un pieds d'égalité et sans aucunes justifications décentes sur ses propos, c'est comme si un mec bourré te donnais son avis dans les chiottes d'une boite de nuit.

[Gama08]

c'est comme si un mec bourré te donnais son avis dans les chiottes d'une boite de nuit.

MDR !

[funny man]

En fait, j'avais oublié que la scène de la fellation avait également été rayée du scenario, c'est encore un point au débit pour ce remake. Suspiria, la critique de ce gars je la comprends et la respecte bien évidement, mais nous partons avec une différence de taille. Moi j'avais aimé l'original, que dis-je adoré, il m’avait brassé, pris aux tripes. L'état brut de la pellicule et le grain salace de l'image apportait un réalisme gênant. Ce gars n'avait pas accroché et c'est bien là une grande différence au départ de notre jugement. De plus, il ne faut pas exclure le contexte, un film de 72 ne peu évidement pas être comparé avec un film de 2009 ca coule de source, spécialement sur le critère de qualité de réalisation et de la performance technique. Les budgets sont différents certes, et comme je l'ai dit, le film est confortable à regarder, bien monter et la photographie est soignée, ca ok pas de problème...Si en fait car c’est ca le problème. Ce film est un produit marketing, bien packagé et correctement calibré pour une rentabilité optimale et c'est bien ca l’affront, l'intention....L'intention n'est pas correcte, les scènes malsaines ne sont pas respectées, il demeure une retenue désolante et un manque total d'originalité d'adaptation. Tourner le film sans bande son aurait pu le rendre plus intéressant déjà, avoir des acteurs un peu plus impliqués aurait servit aussi au film. Bref essayer d’aller plus loin de le politiquement incorrecte, tout est guimauve je trouve. Je maintiens que ce film est un coup d’épée dans l’eau, inutile, irrespectueux mais comme disait Fabrice, du loft story 1 je crois, "les goûts et les couleurs"...

Sans rancune DOMINIC PALHUS

Pour Gama….J’ai effectivement arrêté le saut en hauteur car ici ce n’est pas vraiment Byzance pour la pratique. Je vis au a quelques KM au nord de San Diego dans un quartier de surfeurs, c’est plus skate, surf, beach volley, football (américain), baseball et compagnie donc je me reconverti en kelly slater …..Tales from the tubes quoi….

[asath]

En fait, j'avais oublié que la scène de la fellation avait également été rayée du scenario, c'est encore un point au débit pour ce remake. Suspiria, la critique de ce gars je la comprends et la respecte bien évidement, mais nous partons avec une différence de taille. Moi j'avais aimé l'original, que dis-je adoré, il m’avait brassé, pris aux tripes. L'état brut de la pellicule et le grain salace de l'image apportait un réalisme gênant. Ce gars n'avait pas accroché et c'est bien  là une grande différence au départ de notre jugement. De plus, il ne faut pas exclure le contexte, un film de 72 ne peu évidement pas être comparé avec un film de 2009 ca coule de source, spécialement sur le critère de qualité de réalisation et de la performance technique. Les budgets sont différents certes, et comme je l'ai dit, le film est confortable à regarder, bien  monter et la photographie est soignée, ca ok pas de problème...Si en fait car c’est ca le problème. Ce film est un produit marketing, bien packagé et correctement calibré  pour une rentabilité optimale et c'est bien ca l’affront, l'intention....L'intention n'est pas correcte, les scènes malsaines ne sont pas respectées, il demeure une retenue désolante et un manque total d'originalité d'adaptation. Tourner le film sans bande son aurait pu le rendre plus intéressant déjà, avoir des acteurs un peu plus impliqués aurait servit aussi au film. Bref essayer d’aller plus loin de le politiquement incorrecte, tout est guimauve je trouve. Je maintiens que ce film est un coup d’épée dans l’eau, inutile, irrespectueux mais comme disait Fabrice, du loft story 1 je crois, "les goûts et les couleurs"...

mais oui c'etait obligé, l'original est beaucoup trop thrash surtout qu'avec les moyens actuels ils y a moyen de tomber dans une ultra violence

Pour Gama….J’ai effectivement arrêté le saut en hauteur car ici ce n’est pas vraiment Byzance pour la pratique. Je vis au a quelques KM au nord de San Diego dans un quartier de surfeurs, c’est plus skate, surf, beach volley, football (américain), baseball et compagnie donc je me reconverti en kelly slater …..Tales from the tubes quoi….

Kelly slater.....le surfeur ex de Pamela Anderson?....eheh si tu tubes autant que lui moi je dis bravo!

[ottorivers]

Donc FUNNY, en gros:

T'as quitté ça:


Pour ça:


et ça:


Pour ça:


Tu veux nous faire chialer ou quoi?!

[funny man]

Salaud otto t'as pris une des moins belle du circuit : Hellebaut la belge, t'aurais pu prendre Blanka Vlasic ou Amy Acuff même si c'est des grandes asperges elles sont plus attrayantes, en plus je les ai rencontrees elles assurent plutot crois moi.

Saut en hauteur:

Blanka Vlasic :



Blanka Vlasic :



Amy Acuff:





Amy Acuff :







Eh bien sur la star ultime du saut en hauteur francais le Funny man enfin l'ex-star

[Gama08]

Même si je t'avais déjà vu (et que je ne suis pas gay), vraiment bel homme notre Funny !

[SUSPIRIA]

Ah ! parce que c'est vraiment lui sur la photo ???
Mon dieu ! quel beau gosse !

Non, non j'ajoute aussi que je ne suis ni Bi ni Gay