Bronson

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Messagepar SUSPIRIA » 09 Décembre 2009, 14:02

Très bon choix Gama mais faut il faut bien que je donne aussi une réponse, lol.

- MORSE
- MARTYRS
et un 3è pour mon plaisir : REC
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Messagepar lirandel » 09 Décembre 2009, 14:06

j'ai execré ce film donc la c'est une question de gout , c'est ce que disais suspiria POUR moi c'est un film culte...maintenant un classique implique qu'il à été vu par un grand nombre de personne et par la suite dans les classiques un film devient une reference incontournable , il devient culte ; c'est comme un vote à presque l'unanimité . "Shining" par exemple ,il y aura toujours des gens qui n'aimeront pas c'est sur..
mais il est toujours cité dans les films les plus flippants des dizaines d'années plus tard.
" pour moi c'est un film culte " est très different de cela .
l'utilisation abusive de ce mot "culte" m'a fait réagir la dessus ! loin de moi l'idée de mettre les pendules à l'heure..alors pour conclure il y aurait le " culte " officieux et le "culte "officiel" ! pourquoi pas
;) ;)
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Messagepar SUSPIRIA » 09 Décembre 2009, 14:09

Petit rappel:

Un film culte est un film généralement original ayant acquis un groupe fortement dévoué de fans. Le terme ne désigne ni un genre au sens propre, ni une qualité esthétique, mais qualifie un film en fonction de la façon particulière dont il est reçu par le public ou une partie du public. Un film culte possède un groupe d'admirateurs, et c'est en général un film que « soit on aime, soit on déteste », mais ces propriétés ne suffisent pas à le définir complètement.

L'expression signifie que le film fait l'objet d'un culte, et non qu'il est un culte lui-même.

Le terme « film culte » est apparu pour la première fois dans le livre de Danny Peary, Cult Movies et il n'a pas cessé d'être utilisé jusqu'à aujourd’hui, et bien souvent dans des sens déformés par rapport au sens originel. Un film culte est un film qui a fini par réunir autour de lui un public le plus souvent réduit d'admirateurs, fidèles et habituellement fanatiques. C'est un film qui peut être source de fascination, d'obsession, et une culture secondaire peut se construire autour de lui (d'où l'analogie avec « culte »).

Les films considérés comme objets de culte ont habituellement un intérêt restreint mais très particulier. Ils ont souvent la réputation d'être des œuvres excentriques, qui n’obéissent pas aux règles du cinéma traditionnel, recourant par exemple à des techniques narratives et de réalisation en dehors des « canons » habituels du cinéma, et/ou qui explorent des thèmes considérés comme marginaux. Certains fims culte sont condamnés à un succès confiné, notamment certains nanars dont le cercle d'admirateurs sera toujours réduit. Quelques-uns sont toutefois parvenus à gagner dès leur sortie en salle une reconnaissance populaire et parfois même critique. D'autres ont dépassé leur statut « culte » progressivement, finissant par être reconnus comme des classiques à part entière.

Et les classiques en général il faut des années pour y accéder.

Dans bien des cas, les films culte ont été au départ des échecs lors de leur sortie en salles. Même s'ils sont restés à l'affiche peu de temps, certains films ont pu trouver une popularité qui s'installe dans la durée grâce à leur diffusion sur d'autres canaux — télévision ou internet — ou supports — cassettes vidéo, laserdiscs, dvd etc. Certains peuvent trouver alors un succès qu'il n'avaient pas connu lors de leur sortie, pouvant conduire à la prolongation de leur exploitation vidéo et à l'augmentation du nombre de copies mises en circulation. Par exemple, un film jugé "médiocre" comme L'ouragan vient de Navarone (1978) de Guy Hamilton (Echec public et critique à sa sortie) bénéficie, après une multitude de diffusion sur le câble et sur les chaînes hertziennes, d'une vraie popularité chez les amateurs de film de guerre. Le film existe aujourd'hui en DVD (proposant la version restaurée de 128 minutes) et vient même de se voir offrir, à l'heure ou beaucoup de classiques manquent à l'appel, une sortie Bluray. Harold et Maude (Harold and Maude) de Hal Ashby, bien qu'il n'engrangea guère de recettes à l'époque de sa sortie au cinéma en 1971, est devenu un succès en même temps qu'un phénomène culte, après ses diffusions télévisées, et sa sortie en vidéo. Plus récemment, on peut citer les exemples de The Big Lebowski (1998) de Joel et Ethan Coen et de 35 heures c'est déjà trop (Office Space, 1999) de Mike Judge, échec à sa sortie, mais que le bouche à oreille a transformé en hit de la location vidéo.

Bon nombre de films culte sont au départ des productions indépendantes dont les créateurs ne s’attendent généralement pas à rencontrer le succès auprès du grand public. Le Carnaval des âmes (Carnival of Souls, 1962) de Herk Harvey, La Nuit des morts vivants (Night of the Living Dead, 1968) de George A. Romero, Pink Flamingos (1972) de John Waters, Frère de sang (Basket Case, 1982) de Frank Henenlotter, Evil Dead (The Evil Dead, 1981) et ses deux suites, réalisés par Sam Raimi, ou encore Eraserhead (1977) de David Lynch sont autant de films indépendants communément reconnus pour être devenus des films culte.

Un film produit par un grand studio peut aussi devenir un film culte, en particulier si, en dépit de sa nature commerciale, son succès autant en salles que sur le marché de la vidéo a été faible, mais qu’il a été mis à l’honneur par un petit nombre de fans dévoués en quête de perles cinématographiques. C’est le cas par exemple de Va te faire voir Freddy! (Freddy Got Fingered, 2001) de Tom Green. Également le contenu de certains films — des sujets obscurs, étranges, de transgression, ou d’autres thématiques propres à susciter la controverse — peut être déterminant dans le fait qu’un film deviendra culte, qu’il s’agisse d’une production indépendante ou de gros studio. Parfois, la réception publique d’un film culte diffère quelque peu de ce que ses producteurs prévoyaient. Par exemple, le film à gros budget Showgirls (1995), de Paul Verhoeven, film où le sexe est omniprésent et qui était au départ conçu comme un drame retraçant la carrière une strip-teaseuse de Las Vegas, fut un flop complet au moment de sa sortie, à la fois éreinté par la critique et boudé par le public. Le film est aujourd'hui l'un des préféré du public homosexuel et est désormais généralement vu comme une comédie, suite à son succès lors de ses fréquentes diffusions à la télévision en séance de minuit. Selon l’écrivain et militante Naomi Klein, l'aspect second degré jouissif du film est apparu lors de l'exploitation vidéo du film et avant que les commerciaux de MGM n’aient l’idée d’exploiter cette idée. MGM remarqua que le titre connaissait une certain succès en vidéo, puisque « des gens entre vingt et trente ans avaient lancé des soirées Showgirls, ironiques, au cours desquels ils s’amusaient à se moquer du scénario aussi maigre qu’improbable du film et à pousser des cris d’horreur au moment des scènes de rapports sexuels "aérobiquées". »

Certains films, bien qu'ils aient recueilli des critiques massivement positives et qu’ils aient été des succès au box office, sont néanmoins considérés comme objets de culte. On trouve un exemple dans la vision du futur sinistre, perturbante et ultraviolente offerte par Stanley Kubrick dans Orange mécanique (A Clockwork Orange, 1971), un film qui fut couronné par plusieurs récompenses majeures et fut nommé pour quatre Oscars, dont celui du meilleur film. D’autres exemples : 2001 : l'odyssée de l'espace (2001 : A Space Odyssey, 1968), de Stanley Kubrick également, Taxi Driver, (1976) de Martin Scorsese, Apocalypse Now (1979) de Francis Ford Coppola, Blade Runner (1982) de Ridley Scott, Scarface (1983) de Brian De Palma, Blue Velvet (1986) de David Lynch, ou Pulp Fiction (1994) de Quentin Tarantino.

Parfois, des films deviennent objets de culte parce qu’ils sont en avance sur leur temps ; ils se trouvent un public d’admirateurs tardivement une fois que leur originalité est reconnue ; c’est notamment le cas du Fantasia (1940) des studios Walt Disney.
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Messagepar lirandel » 09 Décembre 2009, 14:18

Plus récemment, on peut citer les exemples de The Big Lebowski (1998) de Joel et Ethan Coen et de 35 heures c'est déjà trop (Office Space, 1999) de Mike Judge, échec à sa sortie, mais que le bouche à oreille a transformé en hit de la location vidéo.



je suis d'accord , il faut un certain temps ..... ;)
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Messagepar SUSPIRIA » 09 Décembre 2009, 14:21

Je suis d'accord aussi :)
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Messagepar lirandel » 09 Décembre 2009, 14:26

bon avec tout ça faudra que le matte si j'ai bien compris...tu as parlé de triologie aussi ...!
celle de the pusher , noté aussi.. ;)
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Messagepar SUSPIRIA » 09 Décembre 2009, 14:37

Euh non Lirandel t'es pas obligé d'le voir ce film tu sais ! loooooooooolllllllll
;)
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Messagepar lirandel » 09 Décembre 2009, 14:46

si si paranormal inactivity m'est resté sur l'estomac, lollllllllllllllll
;) ;)

et puis j'ai un petit faible pour les films britaniques..y a un peu plus d'activity..LOOOOOOOOOL :D :D :D
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Messagepar SUSPIRIA » 09 Décembre 2009, 15:04

Lirandel tu veux que je fasse un petit rappel sur la signification du mot CHEF-D'OEUVRE ???

Ptdrrrrrrrrrrrrrr :P

Sinon t'as les dolipranes aussi qui sont assez efficaces !
:D
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Messagepar lirandel » 09 Décembre 2009, 15:49

ah non pas de piqure de rappel y en a assez en ce moment lolllllllll :D
mais celui la je le sens bien....le trailer m'a plus..

un chef d'oeuvre est il supérieur à un culte ? LOOOOOOOOL cinq dolipranes + un supositoire asseché se dher Pfeizer.... :P :P :D :D :D
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