
Aka : Frauengefängnis
Aka : Caged Women
Aka : Women's Penitentiary IV
Lina Romay .... Maria da Guerra

Paul Muller .... Carlos Costa
Monica Swinn .... The Wardress
Roger Darton .... Milton Warren
Ronald Weiss .... The Warden
Martine Stedil .... Bertha Contrini
Eric Falk .... Nestor
Jesus Franco .... Maria's Father
Peggy Markoff .... Pompadour
Nathalie Mann
Denis Torre
Raymond Hardy .... José
Beni Cardosi .... Rosaria Cortina (as Beni Cardoso)
rest of cast listed alphabetically
Frieda Altstadt
Madeleine Ammann
Nathalie Chape
Lilliane Stollberger
Synopsis :
After killing her father who had attempted to rape her, Maria da Guerra is sentenced to prison for life. The wardress is a sadistic lesbian without mercy or humanity. Upon her arrival Maria is taken to a special section for mentally disturbed prisoners where torture, rape and bestial violence are part of the day-to-day reality. One day the Regional Governor arrives, claiming to have received a letter from one of the prisoners describing incredible events in the prison. The writer of the letter was clearly unaware that the Governor is also part of the conspiracy. Carlos Costa, a male nurse pretending to be the prison doctor Moore, falls in love with Maria. After seducing him, Maria kills him with a pair of scissors and escapes with her friends Bertha and the disturbed Rosario, hoping to find safety in the Governors house, unaware that he will of course not help them...
Né le 12 mai 1930 en Espagne, Jess Franco, a réalisé à ce jour plus de 200 films dans tous les styles cinématographiques. Il réalisa de nombreux films pornos sous une multitude de pseudos, des films d'épouvantes, des naziexploitations, des nonexploitations, des prisons de femmes... Il réalisé également le quatrième volet non officiel de la série des Ilsa : ILSA, ULTIMES PERVERSIONS, qui, pour cette raison, ne pas été intégré dans le coffret de l'éditeur Anchor Bay. Tout comme Joe D'Amato et sa Laura Gemser, Jess Franco mettra en vedette dans beaucoup de ses fims sa compagne Lina Romay, au charme envouteur et qui sera, en grande partie, à l'origine de son succès auprès du public. Parmi les classiques indémodables, réalisés par Jesus Franco, on retrouvera : UNE VIERGE CHEZ LES MORTS-VIVANTS, LOVE CAMP, JACK THE RIPPER, BARBED WIRE DOLLS, LES DEMONS, BLUE RITA, LOVE LETTERS OF A PORTUGUESE NUN... Jess Franco tourne ses films d'une façon qui lui est bien particulière. Sa technique de zoom, qu'elle plaise ou non fera l'objet de nombreuses discussions entre ses passionnées.
Critique :
Etant un standard du genre, tout adepte du "WIP" se doit de passer par ce film. Pourtant, les promesses ne sont pas ici tout à fait tenues. Le thème de la femme en prison n'étant qu'un prétexte à tourner un film érotique. On est loin de la ferveur et de l'acharnement avec lesquels Ilsa séquestres ses prisonnières dans le camp 9 du film ILSA, LA LOUVE DES SS. Ici les tortures sont timides et quasi inexistantes. Pas de gore ni de scènes qui mettent mal allaise. On devra se contenter d'une cellule d'isolement dans laquelle les prisonnières, privé de repas, sont fouétés et mal menées par une brute sans pitié, et d'un lit, surement électrifié, sur lequel cette même brute, sodomisera la belle Lina Romay avec le manche de son fouet. L'organisation hierachique et technique au sein même de la prison est inexistante. Les rituels spécifiques aux prisons, tel que les tours de gardes, l'inspection des cellules, la fouille au corps des détenues, les déplacements de ces dernières dans l'enceinte, etc, manquent misérablement. Les conséquences sont sans appel, on a pas vraiment pas l'impression de se trouver dans une prison digne de ce nom. Profitants au maximum de la libération du corps de la femme à l'écran, tout sera prétexe à touner un film érotique. La directrice, idéolâtrant le nazisme du III Reich, n'hésitera pas à punir de faute grave une des prisonnières en la recevant chez elle et en lui demandant de lui faire l'amour... Le scénario sonne lui aussi creux, et vous le comprendrez lorque vous découvrirez pourquoi la directrice porte tans de haine à la pauvre Maria, jouée par Lina Romay. Heureusement, les femmes ne perdent pas une occasion pour dévoiler leur intimité. Jess Franco n'hésitant pas à film tout ça en gros plan. Le point fort du film, comme tans d'autres de Jess Franco, reste dans la Lina Romay. Je vous laisse apprécier par vous même les quelques photos que j'ai pu trouver. Seul regret, l'une des gardiennes laisse apparaitre à la fin du film, de façon très rapide, une superbe poitrine. Dommage que cette vue nous a pas été offerte un peu plus souvent et de façon plus profitable.






Collection VIP : http://www.jess-franco.com/
Jess Franco sur IMDB : ici