Et après Rubber's Lover, j'ai commencé le premier film de Shozin Fukui.
L'histoire d'un androïde sexuel chargé de rendre heureuses ces dames et qui est mis à la rue par sa propriétaire. Ces concepteurs cherchent alors à le récupérer.
De son côté, l'androïde se met en ménage avec une paumée qui a perdu la mémoire.
Une belle montée de tension. Et, à la moitié du film, ça se transforme en une hystérie TOTALE. Attention, comme Rubber's Lover, il s'agit plus d'un film expérimental que d'un film gore.
Et puis, pitié pour les voisins, ne branchez pas le caisson de basses de votre home cinéma, parce que vraiment, passé la première moitié du film, la bande son se résume à un cri, ou plutôt un hurlement, perpétuel.
Bon courage.